Thèse soutenue

L’élève-ingénieur à l’épreuve du TOEIC : de la compétence linguistique à la communication : le cas des étudiants de l’INSA-Strasbourg

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Auteur / Autrice : Sarah Sands
Direction : Jacques Audran
Type : Thèse de doctorat
Discipline(s) : Sciences de l'éducation
Date : Soutenance le 17/12/2020
Etablissement(s) : Strasbourg
Ecole(s) doctorale(s) : École doctorale Sciences humaines et sociales – Perspectives européennes (Strasbourg ; 2009-....)
Partenaire(s) de recherche : Laboratoire : Laboratoire interuniversitaire des sciences de l'éducation et de la communication (Strasbourg)
Jury : Président / Présidente : Nadège Doignon
Examinateurs / Examinatrices : Marie-Christine Toczek-Capelle, David Oget
Rapporteurs / Rapporteuses : Caroline Ladage, Denyze Toffoli

Résumé

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Il y a vingt-cinq ans, le TOEIC était un test standardisé facultatif qu’un jeune diplômé passait pour compléter son CV. En 2017, selon le TOEIC Worldwide Report, les élèves-ingénieurs étaient le groupe passant le plus grand nombre de ces tests, représentant 26 % des 7 millions de TOEICs. Face aux exigences du marché du travail, la Commission des Titres d’Ingénieurs, chargée de l’habilitation et certification des formations françaises d’ingénieurs exige un niveau d’anglais permettant aux étudiants/ingénieurs d’intégrer ou de diriger un projet international. Aujourd’hui, cet examen de deux heures peut donc constituer l’obstacle majeur à l’obtention d’un diplôme dans les délais prescrits par les cursus officiels, car le score de 785/990 (B2) est devenu un prérequis au programme de fin des études des écoles d’ingénieurs. Cette étude explore pourquoi après onze années d’anglais ceci pourrait être le cas.