Conceptions d'enseignants tunisiens sur la situation-problème : cas de la reproduction des angiospermes
Auteur / Autrice : | Fethi Hichri |
Direction : | Christian Orange, Abderrazak Smaoui |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Sciences de l'éducation |
Date : | Soutenance le 19/12/2018 |
Etablissement(s) : | Nantes en cotutelle avec Université virtuelle de Tunis |
Ecole(s) doctorale(s) : | Éducation, Cognition, Langages, Interactions, Santé (ECLIS) (Nantes) |
Partenaire(s) de recherche : | COMUE : Université Bretagne Loire (2016-2019) |
Laboratoire : Centre de Recherche en Éducation (Nantes) | |
Jury : | Président / Présidente : Abdelmajid Naceur |
Examinateurs / Examinatrices : Patricia Schneeberger |
Mots clés
Mots clés contrôlés
Mots clés libres
Résumé
La présente recherche s’intéresse à la manière avec laquelle des enseignants tunisiens du primaire conçoivent et mettent en œuvre une situation-problème et la nature des aides qu’ils déploient, concernant la reproduction des Angiospermes.Nous nous référons pour cela au travaux didactiques et pédagogiques sur la situation-problème (Meirieu, 1992 ; Arsac & al., 1988 ; Brousseau, 1980 ; Douady, 1984 ; Astolfi, 2008 ; Vecchi & Carmonna-Magnaldi, 2002 ; Fabre, 1989), aux injonctions officielles relatives à la mise en œuvre d’une situation-problème telles qu’ils sont définies dans les textes officiels, et au cadre théorique de la problématisation, développé au Centre de Recherche en Éducation de Nantes (CREN) (Fabre & Orange, 1997 ; Orange, 2012).Alors qu’il y a une incitation forte des textes officiels à enseigner par situation-problème, il s’agira, dans cet article, de comprendre comment les enseignants se débrouillent avec ça quand on leur demande de faire une situation-problème.Nous avons axé notre méthodologie sur les techniques d’autoconfrontation (Clot & Faïta, 2000).Ce travail de recherche a permis d’identifier certaines difficultés concernant la mise en place d’une situation-problème.