Modélisation numérique du couplage thermique-photoélectrique pour des modules photovoltaïques sous faible concentration
Auteur / Autrice : | Marko Pavlov |
Direction : | Michel Pons |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Énergétique |
Date : | Soutenance le 25/10/2016 |
Etablissement(s) : | Université Paris-Saclay (ComUE) |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Sciences mécaniques et énergétiques, matériaux et géosciences (Gif-sur-Yvette, Essonne ; 2015-....) |
Partenaire(s) de recherche : | établissement opérateur d'inscription : Université Paris-Sud (1970-2019) |
Laboratoire : Laboratoire d'informatique pour la mécanique et les sciences de l'ingénieur (Orsay, Essonne ; 1972-2020) - Laboratoire Génie électrique et électronique de Paris (Gif-sur-Yvette, Essonne ; 1998-....) | |
Jury : | Président / Présidente : Pere Roca i Cabarrocas |
Examinateurs / Examinatrices : Michel Pons, Pere Roca i Cabarrocas, Philippe Blanc, Daniel Lincot, Anne Migan-Dubois, Radovan Kopecek, Vincent Bourdin | |
Rapporteurs / Rapporteuses : Philippe Blanc, Daniel Lincot |
Mots clés
Résumé
La faible exploitation de l'irradiation inter-rangée limite la production des modules photovoltaïques (PV). Le projet ''Aleph'' explore l'intérêt d'ajouter des réflecteurs plans entre les rangées pour augmenter la production, et dégage des règles claires permettant l'optimisation géométrique de l'ensemble. Ce travail présente une modélisation multiphysique du système, des simulations numériques de son comportement, et la comparaison avec des données expérimentales. Deux technologies de module PV sont considérées : silicium amorphe (a-Si) et silicium polycristallin (p-Si). Les mesures montrent des gains énergétiques importants grâce aux réflecteurs. Les gains sont plus importants pour les modules a-Si que p-Si. La modélisation associe un modèle optique de lancers de rayons par méthode Monté-Carlo sous EDStaR, un modèle photoélectrique sous SPICE, et un modèle thermique empirique. Le modèle complet est calibré avec des données expérimentales en utilisant un algorithme évolutif. Une fois calibré, le modèle démontre une bonne performance en simulant la puissance générée par les modules en fonction des données atmosphériques et radiatives.