Révisions constitutionnelles et constitutionnalisme abusif
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Auteur / Autrice : | Thibault Gautier |
Direction : | Ariane Vidal-naquet, Xavier Magnon |
Type : | Projet de thèse |
Discipline(s) : | En droit spécialité Droit public |
Date : | Inscription en doctorat le 03/08/2024 |
Etablissement(s) : | Aix-Marseille |
Ecole(s) doctorale(s) : | Ecole Doctorale Sciences Juridiques et Politiques |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : DICE - Droits International, Comparé et Européen |
Equipe de recherche : GERJC - Groupe d'Etudes et de Recherches sur la Justice Constitutionnelle |
Mots clés
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Résumé
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Peut-on réviser une Constitution de façon abusive ? La question semble relativement surprenante puisqu'à première vue, seules deux réponses sont plausibles : soit la révision est régulière en raison du respect de la procédure prévue, soit elle méconnaît cette dernière et peut alors constituer une violation, voire plus largement une révolution juridique. Pourtant, cette question peut s'avérer plus complexe qu'elle n'y paraît et une réflexion doctrinale voit petit à petit le jour sur ce sujet. Portée essentiellement par les politologues anglo-saxons ainsi que par quelques juristes, cette thématique se confond dans une notion plus large, le « constitutionnalisme abusif ».