Correspondance Landau-Ginzburg/Calabi-Yau en K-théorie quantique
Auteur / Autrice : | Maxime Cazaux |
Direction : | Alessandro Chiodo |
Type : | Projet de thèse |
Discipline(s) : | Mathématiques |
Date : | Inscription en doctorat le 01/09/2021 |
Etablissement(s) : | Sorbonne université |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Sciences mathématiques de Paris centre (Paris ; 2000-....) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Institut de mathématiques de Jussieu-Paris Rive Gauche (1997-....) |
Equipe de recherche : Topologie et Géométrie Algébrique |
Mots clés
Mots clés libres
Résumé
La K-théorie quantique est une théorie analogue à la cohomologie quantique, qui consiste à dénomnbrer les courbes algébrique satisfaisant certaines conditions dans une variété algébrique cible X. Ces dénombrements de courbes, aussi appelés invariants de Gromov-Witten sont notoirement difficiles à calculer, ce qui a motivé l'exploration d'approches indirectes. Une de ces approches passe par la correspondance Laudau-Ginzburg/Calabi-Yau (LG/CY), qui relie la cohomologie quantique à une autre théorie énumérative, la théorie quantique des singularités (ou FJRW du nom de ses auteurs). Plus précisément, il est connu que les invariants de Gromov-Witten d'une hypersurface projective correspondent aux invariants de la singularité associée dans l'espace affine. Cette théorie FJRW admet aussi une version K-théorique, et le but de mon travail est d'établir une correspondance LG/CY au niveau K-théorique, c'est-à-dire entre la K-theorie quantique, et la version K-théorique des invariants FJRW.