Développement de méthode innovantes basées pour la construction d'un trigger de fission
Auteur / Autrice : | Brigitte Pertille ritter |
Direction : | Matthieu Lebois |
Type : | Projet de thèse |
Discipline(s) : | Physique nucléaire |
Date : | Inscription en doctorat le 30/09/2023 |
Etablissement(s) : | université Paris-Saclay |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Particules, Hadrons, Énergie et Noyau : Instrumentation, Imagerie, Cosmos et Simulat |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Laboratoire de Physique des deux Infinis Irène Joliot-Curie |
référent : Faculté des sciences d'Orsay |
Mots clés
Résumé
En 2017-2018, une campagne expérimentale basée sur l'utilisation du spectromètre gamma nu-Ball a eu lieu. L'une des expérience était dédiée à l'étude des fragments de fission produits lors de la fission du 232Th. La cible utilisée lors de cette expérience possédait une activité de 5 MBq à comparer au taux de fission maximal de 25 kHz. Par conséquent, la reconstruction des évènements de fission par les méthodes conventionnelles s'est avérée particulièrement compliquée. Une tentative prometteuse de développement de réseau de neurones a été mise en place. Toutefois, la piètre qualité des données d'entrainement, les grandes variations du dispositif expérimental entre les données d'entrainement et les données physiques ont réduit drastiquement les performances de l'algorithme obtenu. Dans cette thèse, je propose entre autre de développer un nouveau trigger de fission basée sur la fonction de réponse d'un autre spectromètre gamma avec une expérience dédiée. De plus, ce nouveau trigger pourra être utilisé sur d'autres données obtenues plus tôt dans la campagne via une réaction de fission induite différemment. En plus de ce trigger de fission, nous allons aussi essayer d'implémenter autant que possible des techniques basées sur l'intelligence artificielle dans le processus d'analyse de données afin de les comparer aux méthodes 'traditionnelles'.