telecommunication des couches geologiques en utilisant les ondes sismique
Auteur / Autrice : | Christina Akleh |
Direction : | Hervé Chauris |
Type : | Projet de thèse |
Discipline(s) : | Géosciences et géoingénierie |
Date : | Inscription en doctorat le 02/10/2023 |
Etablissement(s) : | Université Paris sciences et lettres |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Géosciences, ressources naturelles et environnement |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Centre de Géosciences |
Equipe de recherche : Géophysique | |
établissement opérateur d'inscription : Mines Paris-PSL |
Mots clés
Mots clés libres
Résumé
Les principaux challenges sont les suivants : comment encoder l'information pertinente pour la décoder en surface de manière robuste ? Les ondes élastiques sont en effet atténuées au cours de la propagation, avec une distorsion du signal qui dépend de la fréquence. Les capteurs à la surface vont aussi enregistrer le bruit ambiant dans les mêmes gammes de fréquence que le signal intéressant (typiquement 10 à 1000 Hz). Par ailleurs, le milieu géologique peut varier au cours du temps (surtout les premiers mètres à la surface), par exemple à cause de la pluviométrie variable. Par conséquent, pour un même signal émis depuis la source en profondeur, les signaux reçus seront modifiés en fonction du temps calendaire. Enfin, il sera aussi important de comprendre le rapport entre quantité d'information transmise versus énergie nécessaire pour exciter la source sismique. Des données réelles sont déjà acquises dans le cadre du projet SeisCom et d'autres acquisitions pourront avoir lieu pendant la thèse pour évaluer des pistes de recherche. Elles seront complétées par des modélisations, par exemple pour étudier l'effet de l'atténuation sur le décodage de l'information.