Etude des modes de franchissement de la barrière-hématoencéphalique humaine par les entérovirus neurotropes, à l'aide de modèles de co-culture cellulaire in vitro.
Auteur / Autrice : | Léa Gaume |
Direction : | Jean luc Bailly, Christine Archimbaud |
Type : | Projet de thèse |
Discipline(s) : | Microbiologie |
Date : | Inscription en doctorat le 01/10/2021 |
Etablissement(s) : | Université Clermont Auvergne (2021-...) |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale des sciences de la vie, santé, agronomie, environnement (Clermont-Ferrand) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Laboratoire Microorganismes : Génome et environnement |
Mots clés
Résumé
La barrière hémato_encéphalique représente l'interface la plus vaste entre le sang et le cerveau. Elle possède des propriétés qui lui sont propres et qui permettent de maintenir l'homéostasie et de contrôler le passage de composés à travers elle. Lors de certaines infections virales, des méningites, des paralysies voir des encéphalites peuvent survenir, impliquant un passage virale à travers cette barrière protectrice. L'objectif de ma thèse est de découvrir comment l'entérovirus A71 (virus neurotropes responsable de la maladie pieds-mains-bouche) traverse cette barrière. Le virus peut soit la traverser de façon libre par voie paracellulaire ou transcellulaire. Il peut également infecter le système immunitaire pour l'utiliser comme transporteur à travers la barrière (tel un ''cheval de Troie'').