L'empreinte ovidienne dans les écrits de Claude Louis-Combet

''The Ovidian imprint in the writings of Claude Louis-Combet''

• Auteur / Autrice : Pascale Pradal-morand
• Direction : Helene Vial
• Type : Projet de thèse
• Discipline(s) : Langue et littérature françaises
• Date : Inscription en doctorat le 22/11/2021
• Etablissement(s) : Université Clermont Auvergne (2021-...)
• Ecole(s) doctorale(s) : Lettres, Langues, Sciences humaines et Sociales
• Partenaire(s) de recherche : Laboratoire : Centre de Recherches sur les Littératures et la Sociopoétique

Mots clés

Mots clés libres

Claude Louis-Combet

Ovide

Métamorphose

Hybride

Mythe

Claude Louis-Combet

Ovid

Metamorphosis

Hybrid

Myth

Résumé

L'objectif de cette thèse est d'étudier l'empreinte ovidienne dans les écrits de Claude Louis-Combet. Le choix du vocable « empreinte » rend compte d'une influence inégale, mais omniprésente, d'Ovide dans cette œuvre de l'extrême contemporain. À cette fin, les perspectives de la métamorphose et de l'hybridation seront adoptées pour répondre aux interrogations que suscite la mise en présence des deux auteurs : Comment Claude Louis-Combet se réapproprie-t-il les textes d'Ovide ? Quelle est la part d'imitation, de transformation ? Est-ce une transposition des textes sources ? L'antique et le contemporain nous transmettent-ils le même message ? Quelle que soit la réponse à cette dernière interrogation, que déduire de cette relation fusionnelle entre deux productions littéraires que vingt siècles séparent ?

The objective of this thesis is to study the Ovidian imprint in the writings of Claude Louis-Combet. The choice of the term ''imprint'' reflects the uneven, but omnipresent, influence of Ovid in this Extreme Contemporary work. To this end, the perspectives of metamorphosis and hybridization will be adopted to answer the questions raised by the encounter of the two authors : How does Claude Louis-Combet re-appropriate Ovid's texts ? What is the part of imitation, of transformation ? Is it a transposition of the source texts ? Do the ancient and the contemporary transmit the same message to us ? Whatever the answer to this last question is, what can be deduced from this fusional relationship between two literary productions that are twenty centuries apart ?