Variation en droit civil sur les limites de l'articulation chose/vivant.
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Auteur / Autrice : | Catherine Boyer |
Direction : | Jean-François Riffard |
Type : | Projet de thèse |
Discipline(s) : | Droit privé et sciences criminelles |
Date : | Inscription en doctorat le 24/05/2019 |
Etablissement(s) : | Université Clermont Auvergne (2021-...) |
Ecole(s) doctorale(s) : | Sciences Economiques, Juridiques, Politiques et de Gestion |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Centre Michel de l'Hospital (Clermont-Ferrand) |
Mots clés
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Mots clés libres
Résumé
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Élaborer un concept doctrinal offrant les outils juridiques d'appréhension du vivant par le droit positif. A partir de ce concept,appliquer à chaque stade du vivant (ou par ensemble de stades évolutifs) une catégorie juridique ayant pour rôle de définir une position juridique: définition, puis protection par degré, de cette catégorie. Les sciences de la vie:biologie, biologie moléculaire, éthologie, devront être les références constantes du droit.