La « conscience artificielle » : pour un droit sui generis de l'IA
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Auteur / Autrice : | Emma Miquel |
Direction : | Lina Williatte |
Type : | Projet de thèse |
Discipline(s) : | Droit privé et sciences criminelles |
Date : | Inscription en doctorat le 30/11/2022 |
Etablissement(s) : | Valenciennes, Université Polytechnique Hauts-de-France |
Ecole(s) doctorale(s) : | Ecole Doctorale Polytechnique Hauts-de-France |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : ¨Centre de Recherche sur les Relations entre les Risques et le Droit |
Equipe de recherche : C3RD - Equipe |
Mots clés
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Mots clés libres
Résumé
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Ce travail de recherche a pour ambition d'être un essai de construction d'un droit propre à l'IA, une proposition qui vise à répondre aux besoins de la pratique, comme de la recherche en matière d'IA. Bien que la tradition juridique française permette de ranger les situations nouvelles dans des catégories juridiques préexistantes, la création d'un droit sui generis pourrait conduire à la création d'un monopole patrimonial en faveur de son producteur. Le producteur a généralement investi humainement et matériellement dans ce qui lui permettrait de tirer les fruits de ses investissements.