Thèse en cours

Impression 3D métallique de composants innovants pour applications millimétriques

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Auteur / Autrice : Hiba Lahlimi alami
Direction : Stéphane BilaNicolas Delhote
Type : Projet de thèse
Discipline(s) : Sciences et ingénierie pour l'information
Date : Inscription en doctorat le 21/09/2022
Etablissement(s) : Limoges
Ecole(s) doctorale(s) : Sciences et Ingénierie
Partenaire(s) de recherche : Laboratoire : XLIM
Equipe de recherche : XLIM SRF - Systèmes Radio-Fréquences

Résumé

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Cette thèse est proposée par l'équipe de recherche MACAO de l'institut de recherche Xlim (CNRS/Université de Limoges). Elle propose le développement de nouveaux concepts de composants hyperfréquences passifs réalisés par une technologie innovante de fabrication additive métallique à l'échelle micronique. Cette technologie, basée sur le dépôt localisé de métaux par voie électrochimique via une pointe AFM (atomic force microscope) fonctionnalisée, permet la réalisation à la demande en 3D de voxels métalliques (Cu, Au) de quelques µm3. Cette technologie est à notre connaissance la seule capable de réaliser à cette échelle des objets 3D en métaux très conducteurs d'électricité. A notre connaissance, cet équipement sera le seul sur le sol français et le seul mis en œuvre ici pour des composants hyperfréquences orientés pour des applications spatiales. L'étudiant(e) recruté(e) se concentrera sur la conception de dispositifs hyperfréquences 3D innovants. Parmi les nombreuses potentialités de cette technologie, plusieurs seront mises en avant dans cette thèse : - Création de passifs 3D - Création de lignes de transmission originales pour fréquences millimétriques et sub-THz - Création de filtres métalliques 3D basés sur des concepts originaux - Etc Le doctorant aura pour charge la création de ces concepts innovants, leur réalisation en salle blanche, leur analyse dimensionnelle (microscope électronique à balayage disponible au laboratoire voire tomographie X) et leurs mesures hyperfréquences jusqu'à des centaines de GHz. Cette thèse est cofinancée par le laboratoire Xlim et l'agence spatiale française (CNES).