Thèse en cours

Essai critique sur le droit de rétention : plaidoyer pour une réforme en droit OHADA

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AttentionLa soutenance a eu lieu en 2024. Le document qui a justifié du diplôme est en cours de traitement par l'établissement de soutenance.
Auteur / Autrice : Ismael Guindo
Direction : Denis Pohe-tokpa
Type : Projet de thèse
Discipline(s) : Droit privé et sciences criminelles
Date : Soutenance en 2024
Etablissement(s) : Bordeaux
Ecole(s) doctorale(s) : École doctorale de droit
Partenaire(s) de recherche : Laboratoire : INSTITUT DE RECHERCHE EN DROIT DES AFFAIRES ET DU PATRIMOINE
Jury : Président / Présidente : Bernard Saintourens
Examinateurs / Examinatrices : Denis Pohe-tokpa, Moussa Thioye, Yodé Jean-Didier Kakaly
Rapporteur / Rapporteuse : Moussa Thioye, Yodé Jean-Didier Kakaly

Mots clés

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Résumé

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Dans une vision d’attractivité et de compétitivité dans la vie des affaires, le droit OHADA se veut être un instrument de sécurité juridique afin d’attirer les investisseurs étrangers et permettre un dynamisme des investissements nationaux. Cependant, les espoirs suscités par ce système juridique sont loin d’être consolidés. Le bilan de l’OHADA reste mitigé après plus de 30 ans d’existence. Au vu de ce constat et par le prisme du droit des sûretés, il nous est loisible de poser des interrogations sur la capacité du droit OHADA à apporter les garanties suffisantes dans les rapports entre créancier et débiteur. Le cas particulier du droit de rétention dont l’efficacité est compromise du fait de son approche inadéquate est un indicateur sur la nécessité d’une approche nouvelle du droit des sûretés dans sa globalité. Ne faudrait-il pas repenser l’ossature et la structuration du droit des sûretés en droit africain ? La présente étude propose une approche qui priorise les réalités de l’environnement juridique de l’OHADA afin de parvenir à une refonte profonde qui redonnera au droit OHADA la place qu’il se doit de tenir face aux défis économiques de son espace.