Auteur / Autrice : | Paul Miqueu |
Direction : | Laurent Ros, Jean-Marc Brossier |
Type : | Projet de thèse |
Discipline(s) : | Signal Image Parole Télécoms |
Date : | Inscription en doctorat le 04/04/2022 |
Etablissement(s) : | Université Grenoble Alpes |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale électronique, électrotechnique, automatique, traitement du signal (Grenoble ; 199.-....) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Grenoble Images parole signal automatique |
Equipe de recherche : GAIA |
Mots clés
Mots clés libres
Résumé
Les liaisons SerDes permettent de relier, en filaire, un émetteur et un récepteur peu éloignés l'un de l'autre. L'évolution des liaisons SerDes a permis d'augmenter le débit d'information transmis par la liaison. Le débit est, aujourd'hui capé à 56 Gbits/s, pour les systèmes micro électroniques courants, et 112 Gbits/s, pour les applications plus exigeantes. Le traitement des données reste analogique car les distorsions imposées par le canal, pour les fréquences utilisées, pouvent être efficacement compensées via des égaliseurs analogiques repartis sur la chaine de transmission. On cherche, lors de cette thèse, à augmenter le débit des liaisons SerDes à 224 Gbits/s. Pour viser des fréquences de transmission plus importantes, nous devons nous tourner vers des méthodes d'égalisation numériques car elles sont plus performantes. Des solutions de traitement numériques de signaux hauts débits existent dans la littérature et l'industrie mais principalement dans le domaine des radio fréquences. L'objectif de ce travail de thèse est de combiner les solutions existantes pour proposer un modèle original et répondant aux standards des liaisons SerDes de 224 Gbits/s.