La subjectivisation du droit de l'environnement
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Auteur / Autrice : | Arthur Poletti |
Direction : | Grégoire Leray |
Type : | Projet de thèse |
Discipline(s) : | Droit |
Date : | Inscription en doctorat le 01/09/2021 |
Etablissement(s) : | Université Côte d'Azur |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Droit et sciences politiques, économiques et de gestion (Nice, Alpes-Maritimes ; 2008-....) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : CENTRE D'ÉTUDES ET DE RECHERCHES EN DROIT DES PROCÉDURES |
Mots clés
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Mots clés libres
Résumé
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« La subjectivisation est, pour le droit, un moyen de s'accomplir plus parfaitement en disposant, autour de la norme, d'innombrables avertisseurs prêts à se déclencher à la moindre transgression ». (J. CARBONNIER, Droit et passion du droit sous la Vè République, Flammarion, 1996, p. 61.). Le droit de l'environnement est reconnu comme un impératif d'intérêt général par notre ordre juridique. Sur le plan civil, sa protection est réservée au ministère public. La création d'un droit à l'environnement bouleverse le principe en offrant la possibilité à chacun de défendre l'environnement.