Reconstruction 3D de scènes d'intérieur à partir de peu d'images
Auteur / Autrice : | Gaëtan Landreau |
Direction : | Mohamed Tamaazousti |
Type : | Projet de thèse |
Discipline(s) : | Sciences du traitement du signal et des images |
Date : | Inscription en doctorat le 01/04/2021 |
Etablissement(s) : | université Paris-Saclay |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Sciences et technologies de l'information et de la communication (Orsay, Essonne ; 2015-....) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Laboratoire d'intégration des systèmes et des technologies (Gif-sur-Yvette, Essonne ; 2001-....) |
Référent : Faculté des sciences d'Orsay |
Mots clés
Mots clés libres
Résumé
Bien que la reconstruction de scène 3D soit étudiée depuis des décennies, l'avènement des réseaux profonds ces dernières années a permis de s'intéresser à ce problème sous un nouvel angle. Cependant, les contraintes quant aux informations requises pour une telle reconstruction 3D peuvent être nombreuses et coûteuses à obtenir: nombre d'images conséquent, acquisition de cartes de profondeur, connaissance des paramètres (intrinsèques et extrinsèque) de la caméra etc. Les résultats issus de l'état de l'art actuel via l'étude de ces réseaux profonds restent ainsi perfectibles à bien des égards, tant sur la qualité des structures 3D reconstruites que sur l'architecture et les stratégies d'entraînement de ces réseaux profonds. En ce sens, cette thèse s'inscrit dans la continuité des travaux en intelligence artificielle déjà menés sur le sujet tout en cherchant à se distinguer sur quelques aspects. Vis-à-vis des données d'entrée dans un premier temps puisque la reconstruction 3D de scènes doit ainsi pouvoir se faire à partir d'un nombre très limité d'images RGB. Par l'intégration de notions tirées de l'infographie au sein des ces architectures profondes dans un second temps, dans la mesure où encore trop peu de travaux capitalisent sur ce domaine, pourtant essentiel lorsqu'il s'agit de s'intéresser à des questions relatives à la 3D.