La liberté de recherche scientifique en droit international public
Auteur / Autrice : | Hugo Lopez |
Direction : | Vincent Correia |
Type : | Projet de thèse |
Discipline(s) : | Droit |
Date : | Inscription en doctorat le 01/10/2020 |
Etablissement(s) : | université Paris-Saclay |
Ecole(s) doctorale(s) : | Droit, Economie, Management |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : IDEST - Institut du Droit de l'Espace et des Télécommunications |
référent : Faculté de droit, économie, gestion |
Mots clés
Mots clés libres
Résumé
La recherche scientifique est le principal vecteur d'avancement de la société et de la compréhension du monde qui nous entoure. À ce titre, les États jouissent d'un droit souverain de mener, dans la limite de leur juridiction, des recherches en tout genre : nucléaires, chimiques, médicales, etc. Peu à peu, le droit international est venu esquisser les contours des droits et obligations étatiques relatifs à cette liberté de recherche scientifique, tout en l'étendant formellement aux zones situées au-delà de leurs juridictions nationales. Aujourd'hui, le régime juridique de la recherche est éclaté au travers d'une multitude d'instruments internationaux. Au sein de ce méli-mélo juridique, une problématique demeure : si la liberté de recherche scientifique est prévue, il n'est que très rarement précisées ses modalités de mise en uvre. Existe-t-il des limites juridiques ou éthiques à l'exercice de ce droit ? Quels types de recherches sont comprises ? Est-ce que les Organisations Internationales ou les individus disposent également de cette liberté ? Cette thèse a pour ambition d'étudier, théoriquement et concrètement, comment la recherche scientifique est appréhendée par le droit international public.