« Poésie, femmes et environnement : un dialogue écocritique entre poétesses espagnoles et latino-américaines du XXème siècle, Gabriela Mistral-Carmen Conde, Julia Uceda- Ida Vitale, Juana Castro-Claribel Alegría»

Poetry, Women and Environment: an ecocritical dialogue between Spanish and Latinoamerican women poets of the twentieth century, Gabriela Mistral-Carmen Conde, Julia Uceda- Ida Vitale, Juana Castro-Claribel Alegría».

• Auteur / Autrice : Antonia Huerta sánchez
• Direction : Nathalie Sagnes alem, Angela Biancofiore
• Type : Projet de thèse
• Discipline(s) : ETUDES ROMANES spécialité Etudes hispaniques et hispano-américaines
• Date : Inscription en doctorat le 30/10/2020
• Etablissement(s) : Université de Montpellier Paul-Valéry
• Ecole(s) doctorale(s) : École doctorale 58, Langues, Littératures, Cultures, Civilisations
• Partenaire(s) de recherche : Laboratoire : RESO: Recherches sur les Suds et les Orients

Mots clés

Mots clés libres

Poésie hispanique

Écopoétique

Écriture du fémenin

Écophenomenologie

Écoféminisme

Littérature environnementale

Hispanic Poetry

Women writing

Ecofeminism

Ecophenomenology

Ecopoetry

Environmental Literature

Résumé

Cette étude s'interroge sur l'écriture de la nature dans la poésie hispanoamericaine et réalise une lecture écocritique transversale entre poétesses espagnoles et latino-américaines. À partir d'un corpus précis de textes qui comprend des écrivaines telles que Carmen Conde et Gabriela Mistral, Julia Uceda et Ida Vitale, Claribel Alegría et Juana Castro, l'autrice examine la possibilité d'extraire une ligne commune dans l'approche du monde naturel susceptible de jeter les bases d'une écriture écoféministe propre aux mondes hispaniques.

This study questions the writing of nature in Hispano-American poetry and carries out a transversal ecocritical reading between Spanish and Latin American women poets. From a precise corpus of texts which includes writers such as Carmen Conde and Gabriela Mistral, Julia Uceda and Ida Vitale, Claribel Alegría and Juana Castro, the author examines the possibility of extracting a common line in the approach of the natural world likely to lay the foundations of an ecofeminist writing specific to the Hispanic worlds.