Thèse en cours

Les mouvements de résistance en Afrique et les limites de la conception occidentale de la désobéissance civile. la question de la légitimation de la violence

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Auteur / Autrice : Dominique Phumu mbambi
Direction : Michel Terestchenko
Type : Projet de thèse
Discipline(s) : Philosophie
Date : Inscription en doctorat le 08/12/2020
Etablissement(s) : Reims
Ecole(s) doctorale(s) : Ecole doctorale Sciences de l'homme et de la société
Partenaire(s) de recherche : Laboratoire : Centre interdisciplinaire de recherche sur les langues et la pensée (Reims, Marne)

Mots clés

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Résumé

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Google traduire en anglais L'émergence des mouvements de résistance, appelés souvent mouvements de désobéissance civile nous interpelle. Au delà de leur diversité et de leur spécificité, les réclamations qu'ils portent semblent être vue comme un oiseau de mauvaise augure pas seulement des les pays de vielles démocraties, mais aussi dans les jeunes démocraties africaines. En voulant comprendre ce phénomène à la mode, nous voudrions porter un regard sur les traditions occidentales, notamment chez les philosophes qui ont thématisé sur ce fait, sur les nouveaux mouvements de résistance en Afrique pour cerner la possible originalité ou une inspiration éventuelles de ces différentes formes de résistance par rapport à la désobéissance civile. La question de fond qui nous porte est celle de savoir s'il est possible qu'à travers les actes de résistance de ces mouvements qu'émergent de nouvelles sociétés africaines plus justes, plus démocratiques.