La symbiose féministe, comprendre les initiatives féministes de commoning par l’approche symbiotique
Auteur / Autrice : | Louise Lecomte |
Direction : | Lionel Garreau |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Management |
Date : | Soutenance le 27/11/2024 |
Etablissement(s) : | Université Paris sciences et lettres |
Ecole(s) doctorale(s) : | SDOSE Sciences de la Décision, des Organisations, de la Société et de l'Echange |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Dauphine Recherches en Management - Dauphine Recherches en Management / DRM |
établissement opérateur d'inscription : UNIVERSITE PARIS DAUPHINE - PSL | |
Entreprise : Île-de-France. Conseil régional | |
Jury : | Président / Présidente : François-Xavier De vaujany |
Examinateurs / Examinatrices : Lionel Garreau, François-Xavier De vaujany, Nathalie Raulet- croset, Florence Villeseche, Léa Dorion, Mirjam Werner, Anne-Ryslène Zaoual, Véronique Perret | |
Rapporteur / Rapporteuse : Nathalie Raulet- croset, Florence Villeseche |
Mots clés
Mots clés contrôlés
Résumé
Les initiatives féministes s’organisent pour générer des transformations sociales, maillant différents espaces de cause féministes. Ces initiatives s’apparentent à des processus de commoning multi-acteurs. Nous proposons de développer une approche symbiotique pour analyser ces phénomènes, inspirée de la symbiose industrielle et de l'économie symbiotique. L'étude repose sur quatre cas d'initiatives féministes, analysés qualitativement de manière cumulative pour développer une modélisation de la symbiose féministe. Cette modélisation constitue une théorisation de la symbiose féministe, s’appuyant sur des composants, des mécanismes et des propriétés. Cela permet de définir la symbiose féministe comme une modalité de commoning inter-organisationnel fondée sur une diversité d’acteurs entretenant des relations mutuellement avantageuses au profit d’un commun féministe sur lequel ils s’accordent et qui présente des bénéficiaires (in)direct•e•s.