L'évasion fiscale internationale dans le pacifique : comparaison entre la Nouvelle-Calédonie et le Vanuatu.
Auteur / Autrice : | Gino Kalnpel |
Direction : | Manuel Tirard |
Type : | Projet de thèse |
Discipline(s) : | Droit public |
Date : | Inscription en doctorat le 12/12/2019 |
Etablissement(s) : | Paris 10 |
Ecole(s) doctorale(s) : | École Doctorale Droit et Science Politique (Nanterre) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Centre de Recherche en Droit Public |
Mots clés
Mots clés libres
Résumé
Etant relativement éloigné des marchés boursiers de Londres, Paris et Tokyo en passant par Wall Street, ces iles devraient relever les défis de la mondialisation dont notamment les exigences de l'OMC qui met à mal leur économie majoritairement innervée par le secteur touristique. Pour financer leurs charges publiques certains Etats et territoires du Pacifique font appel à des bailleurs de fonds dont les principaux sont l'Australie et la Nouvelle-Zélande ainsi que la Chine qui occupe pour l'heure une place incontournable dans le Pacifique et dont son « ombre » pourrait « perturber » l'Etat Australien dans son rôle de « gendarme du Pacifique ». A côté ils tentent tout de même de porter la réflexion sur des systèmes juridiques dont le système à fiscalité privilégiée permettant de générer des recettes fiscales qui pourraient financer les charges publiques et de dynamiser leurs activités économiques. L'intérêt de la thèse est de porter une réflexion non pas sur toute l'Océanie mais sur quelques iles du Pacifique, à savoir la Nouvelle-Calédonie et le Vanuatu.