La transposition du droit pénal français en Extrême-Orient (années 1850 1930)
Auteur / Autrice : | Sébastien Dubreuil |
Direction : | Alexandre Deroche |
Type : | Projet de thèse |
Discipline(s) : | Droit Public |
Date : | Inscription en doctorat le 04/12/2019 |
Etablissement(s) : | Tours |
Ecole(s) doctorale(s) : | Sciences de la Société : Territoires, Economie, Droit - SSTED |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Institut de Recherche juridique interdisciplinaire François Rabelais |
Mots clés
Mots clés libres
Résumé
Dès la promulgation des divers codes napoléoniens (code civil 1804 ; code pénal 1810), le système juridique français a servi de modèle dans le continent européen, puis dans le monde, notamment en Extrême Orient. L'Extrême Orient a également connu quelques mutations juridiques, voire politiques au XIXème siècle, et ce à divers degrés (perte de l'influence de la Chine, conquête de l'Indochine, Révolution Meiji au Japon, et indépendance temporaire de la Corée). S'il est certain que le droit français a été transposé en Indochine et au Japon, il serait intéressant de connaître les raisons de cette solution et de savoir si une application effective a eu lieu. L'objectif est de confronter les modes de transposition du droit pénal français dans les différents pays de l'Extrême-Orient, mais également de voir si ce droit a été appliqué sur d'autres territoires comme la Corée, la Thaïlande ou encore les îles du Pacifique.