Etude de la responsabilité pénale du dirigeant social en droit français et droit OHADA
Auteur / Autrice : | Kossia N'guessan |
Direction : | Haritini Matsopoulou |
Type : | Projet de thèse |
Discipline(s) : | Droit |
Date : | Inscription en doctorat le 28/10/2019 |
Etablissement(s) : | université Paris-Saclay |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Droit, économie, management (Sceaux, Hauts-de-Seine ; 2020-....) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : IDEP - Institut Droit Ethique Patrimoine |
Référent : Faculté de droit, économie, gestion |
Mots clés
Mots clés libres
Résumé
Le droit OHADA est apparu comme une impérieuse nécessité dans un environnement des affaires autrefois marqué par une forte insécurité juridique, préjudiciable aux opérateurs économiques. Ainsi donc, l'avènement du droit OHADA a permis d'offrir un cadre juridique stable et moderne aux investisseurs pour favoriser les investissements et le développement économique des pays d'Afrique sub-saharienne. Il n'en demeure pas moins que si ce droit communautaire a eu le mérite d'uniformiser les infractions en matière de droit pénal des affaires, les sanctions applicables au dirigeant social ont été laissées à la discrétion des Etats parties. Dans un contexte marqué aujourd'hui par la mondialisation, il paraît judicieux de mener une analyse et confronter les dispositions pénales applicables au dirigeant social en droit français par rapport au régime institué dans l'espace OHADA.