Thèse en cours

Les enjeux et pratiques de la réduction de la défaillance des entreprises : essai de modélisation

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Auteur / Autrice : Nadjah Ait amara
Direction : Jean-Paul Mereaux
Type : Projet de thèse
Discipline(s) : Sciences économiques et de gestion
Date : Inscription en doctorat le 07/01/2020
Etablissement(s) : Reims
Ecole(s) doctorale(s) : Ecole doctorale Sciences de l'homme et de la société
Partenaire(s) de recherche : Laboratoire : Centre de recherches juridiques sur l'efficacité des systèmes continentaux (Reims, Marne)

Mots clés

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Résumé

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Les défaillances d'entreprises restent en France à un niveau élevé malgré une amélioration récente de la situation. À fin juin 2019, le cumul sur 12 mois du nombre de défaillances s'élève à 53 538, soit une hausse de 1,5 % par rapport à juin 2018. Au-delà de ces statistiques qui montrent tout l'importance de ce sujet, la défaillance des entreprises mobilise un champ théorique couvrant plusieurs disciplines (droit, finance, management, gestion, sociologie, …) afin de les réduire. Blazy et Combier (1997) insistent sur la recherche de difficultés en amont afin de prévenir les risques de défaillance. Pour Shepherd (2009) et Cope (2011), la défaillance peut également être une expérience émotionnelle et traumatisante. Khelil (2011) indique qu'à défaut d'un soutien financier et/ou moral, l'entrepreneur peut voir son entreprise disparaître. Suivant cette logique théorique pluridisciplinaire, l'objectif de notre recherche vise à répondre à la question suivante : « Comment peut-on réduire la défaillance des entreprises ? Avec deux questions sous-jacentes : Comment anticiper les échecs ? Avec quels outils ? Pour mener à bien notre recherche et réaliser notre objectif, nous avons fait le choix, sur le plan épistémologique, du paradigme constructiviste. Cette recherche-action s'inscrit dans une démarche de production des connaissances. L'objectif visé est d'élaborer un modèle permettant de mieux prévenir la défaillance d'entreprises et de proposer des outils associés. Sur le plan méthodologique, nous optons pour une démarche mixte (qualitative et quantitative).