Conséquences de l'accumulation des réserves de change et du choix des régimes de change sur les économies émergentes.
Auteur / Autrice : | Ayoub Alkhallaa |
Direction : | Christian Ottavj |
Type : | Projet de thèse |
Discipline(s) : | Sciences économiques |
Date : | Inscription en doctorat le 01/10/2017 |
Etablissement(s) : | Université Paris-Panthéon-Assas |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale des sciences économiques et gestion, sciences de l'information et de la communication (Paris) |
Résumé
L'évolution du système financier international a été le fruit d'une succession de crises financières et économiques, notamment la crise de (1929), le crash pétrolier de (1971)... . De plus, la période récente a connue de nombreuses crises spéculatives de change. Durant toute cette évolution, la course perpétuelle à l'accumulation des réserves de change par les pays émergents n'a cessé de s'intensifier. Ainsi, le choix fait par une banque centrale d'accumuler des quantités importantes de réserves de change a pour objectif, la stabilisation de l'économie locale du pays. Dans la littérature, la question de l'accumulation des réserves de change, ainsi que celle du choix des régimes de change, attirent une attention particulière des chercheurs et des organismes internationaux telles que le Fonds monétaire internationale, l'OCDE... Beaucoup cherche à démontrer une corrélation entre l'importance des réserves de change et le manque d'investissement dans un pays donné, d'autres s'intéresse au lien qui existerait entre le choix d'un régime de change flottant et l'instabilité que connaissent les devises de certains pays émergents, ou à contrario, le lien supposé entre un régime de change fixe et le manque d'ouverture et de croissance des économies adoptants ce type de régime de change. je me décide donc à conduire une étude intitulée « Conséquences de l'accumulation des réserves de change et du choix des régimes de change sur les économies émergentes ».