Physique des sports à rames : Relation vitesse-fréquence et résistances actives
Auteur / Autrice : | Thomas Brunel |
Direction : | Rémi Carmigniani |
Type : | Projet de thèse |
Discipline(s) : | Mécanique des fluides |
Date : | Inscription en doctorat le 01/04/2023 |
Etablissement(s) : | Marne-la-vallée, ENPC |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Sciences, Ingénierie et Environnement (Champs-sur-Marne, Seine-et-Marne ; 2010-....) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : LHSV - Laboratoire Hydraulique Saint Venant |
Mots clés
Résumé
Ce sujet sur la physique des sports à rames (natation, canoë-kayak et aviron) s'organise autour de 2 axes : l'étude de la relation vitesse-cadence et l'étude des résistances 'actives'. Dans ces trois disciplines, les athlètes utilisent une 'rame' pour se déplacer proche de l'interface eau/air. Pour varier leur vitesse moyenne, les athlètes jouent principalement sur la vitesse d'exécution d'un mouvement périodique avec leurs rames. On parle de cadence. Plus la cadence est élevée plus la vitesse moyenne augmente dans un premier temps. L'objectif de cette partie est de raffiner notre compréhension [2, 1] de l'évolution de la vitesse avec la cadence et de la relier à la puissance fournie au niveau des rames pour avancer. Pendant les phases actives, l'embarcation (la coque du bâteau, le corps du nageur) est soumise à des forces de résistance supplémentaire qui viennent en générale augmenter la résistance de l'embarcation passive. On parle de résistance active. L'objet de cette partie de la thèse sera de classifier et quantifier les différentes formes de résistances actives dans les sports à rame : résistance due à la déformation du corps, résistance due aux mouvements de tangage, roulis, pilonnement,...