Thèse soutenue

L'image de Pékin dans la littérature française du XXe siècle (Pierre Loti, Victor Segalen,Pierre-Jean Remy, Suzanne Bernard)

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Auteur / Autrice : Jing Zhou
Direction : Jean-Christophe ValtatYvan Daniel
Type : Thèse de doctorat
Discipline(s) : LITTERATURES FRANCAISES, COMPAREES spécialité Littérature comparée
Date : Soutenance le 11/12/2018
Etablissement(s) : Montpellier 3
Ecole(s) doctorale(s) : École doctorale Langues, Littératures, Cultures, Civilisations (Montpellier ; 1991-....)
Partenaire(s) de recherche : Laboratoire : RIRRA 21 - Représenter / Inventer la Réalité du Romantisme à l'Aube du XXIe siècle - Représenter- Inventer la Réalité du Romantisme à l'Aube du XXIe siècle / RIRRA 21
Jury : Président / Présidente : Martine Boyer-Weinmann
Examinateurs / Examinatrices : Gérard Siary, Crystel Pinçonnat

Mots clés

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Mots clés contrôlés

Résumé

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Dans cette thèse, le sujet que nous avons souhaité traiter est celui de la représentation et des transfigurations de la ville étrangère dans l’écriture française. Nous avons ainsi choisi les œuvres de Pierre Loti, Victor Segalen, Pierre-Jean Remy et Suzanne Bernard, afin de pouvoir expliquer le sujet à l’aide d’exemples concrets, c’est-à-dire en analysant l’image de la ville de Pékin dans les œuvres françaises du XXe siècle. Au cours de cette étude, nous abordons en profondeur l'image de Pékin et en particulier son évolution historique chez les auteurs des différentes périodes que nous avons présentées. Nous étudions cette évolution de l’image de Pékin à partir de trois dimensions. La première dimension est celle de l'histoire citadine, ainsi que celle de sa présence dans le texte littéraire et de son influence sur la représentation. Il s'agit d’une approche plutôt géocritique qui examine les relations entre les espaces humains et la littérature. La deuxième dimension est celle du Pékin des signes. Nous étudierons les textes dans une optique imagologique, en nous focalisant sur la manière dont l’écrivain transcrit le réel, ainsi que sur la représentation de l’objet d’étude. Enfin, la troisième dimension porte sur l'évolution des formes et de l’écriture romanesques.