Implications de la voie de signalisation ERBB dans la carcinogénèse urothéliale
Auteur / Autrice : | Delphine Amsellem-Ouazana |
Direction : | François Goldwasser |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Sciences chirurgicales |
Date : | Soutenance en 2006 |
Etablissement(s) : | Paris 5 |
Partenaire(s) de recherche : | autre partenaire : Université René Descartes. Faculté de médecine Necker enfants malades (Paris) |
Mots clés
Mots clés contrôlés
Résumé
Le cancer de la vessie, 5è cause de mortalité par cancer en France et 4è aux Etats-Unis, voit son incidence croître depuis 30 ans 1-3. Le carcinome à cellules transitionnelles, forme la plus fréquente des cancers de vessie, prédomine nettement chez l’homme. Les tumeurs vésicales se répartissent en tumeurs superficielles (60 à 70 % des cas lors du diagnostic) et en tumeurs infiltrantes. Les tumeurs superficielles posent deux problèmes évolutifs différents mais pouvant s’associer : le risque de récidive et/ou de progression. Les tumeurs superficielles sont cependant, dans l’immense majorité des cas, accessibles à un traitement conservant la vessie 4, 5. Aux tumeurs superficielles on peut opposer les tumeurs infiltrantes de vessie. Celles-ci sont soit infiltrantes au moment du diagnostic (20 à 30 % des cas), soit résultent de l’évolution vers l’infiltration d’une tumeur