Les ouvertures de tir pour armes à feu en Bourgogne Franche-Comté (1360-1650)
Auteur / Autrice : | Maxime Messner |
Direction : | Hervé Mouillebouche, Nicolas Faucherre |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Archéologie |
Date : | Soutenance le 02/12/2023 |
Etablissement(s) : | Bourgogne Franche-Comté |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Sociétés, Espaces, Pratiques, Temps (Dijon ; Besançon ; 2017-....) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Archéologie, terre, histoire, sociétés (ARTEHIS) (Dijon) |
établissement de préparation : Université de Bourgogne (1970-....) | |
Jury : | Président / Présidente : Daniel Russo |
Examinateurs / Examinatrices : Hervé Mouillebouche, Nicolas Faucherre, Emmanuel de Crouy-Chanel, Gérard Giuliato, Jean Mesqui, Olivia Puel, Jean-Jacques Schwien | |
Rapporteur / Rapporteuse : Emmanuel de Crouy-Chanel, Gérard Giuliato |
Mots clés
Résumé
Les années 1360-1380 sont marquées, en France, par l’apparition progressive d’une nouvelle arme utilisant la propulsion à poudre. Ce nouvel armement, qu’il soit considéré comme créateur de crise par les études anciennes ou comme un jalon d’une évolution complexe dans les études plus récentes, marque l’architecture militaire jusqu’à la fin XIXe siècle au moins. Très tôt, sans doute dès ses origines, l’arme à feu est en effet intégrée aux fortifications dans des «trous à canons», «rayères pour armes à feu» ou «canonnières». Dans notre travail, nous proposons de revenir sur l’évolution des formes et de l’utilisation de ces ouvertures par l’étude de leur attributs, la restitution de l’armement associé et, enfin, par un classement typochronologique dans le cadre restreint de la Bourgogne-Franche-Comté entre les années 1360 et 1650.