Nanomatériaux à base de MOF pour la réduction photocatalytique de CO2 et la production de l'hydrogène
Auteur / Autrice : | Maria Anagnostopoulou |
Direction : | Valérie Keller |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Chimie physique |
Date : | Soutenance le 16/06/2023 |
Etablissement(s) : | Strasbourg |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale des Sciences chimiques (Strasbourg ; 1995-....) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Institut de Chimie et Procédés pour l'Energie, l'Environnement et la Santé (Strasbourg ; 1997-....) |
Jury : | Président / Présidente : Sylvie Bégin-Colin |
Examinateurs / Examinatrices : Konstantinos Christoforidis | |
Rapporteurs / Rapporteuses : Paolo Fornasiero, Gerasimos Armatas |
Mots clés
Résumé
Au cours des dernières années, le réchauffement climatique est devenu de plus en plus évident. Les émissions excessives de gaz à effet de serre en sont la principale cause. Le CO2 est l'un de ces gaz à effet de serre, dont l'augmentation dans l'atmosphère est attribuée à la déstabilisation du cycle du carbone et aux émissions anthropiques (c'est-à-dire, l'industrie, les transports). Afin de résoudre ce problème, la diminution des émissions de CO2 par la transition énergétique vers des ressources respectueuses de l'environnement et la conversion du CO2 en d'autres produits chimiques à valeur ajoutée, est suggérée. Dans cette direction, la photocatalyse est introduite comme une voie prometteuse et respectueuse de l'environnement, en réduisant le CO2 en d'autres produits chimiques, qui peuvent être utilisés comme carburants, appelés carburants solaires (CH4, CO, H2). Outre la lumière du soleil, la présence de photocatalyseurs est également nécessaire. Les photocatalyseurs les plus couramment étudiés présentent certains désavantages. Par conséquent, cette thèse vise à coupler des matériaux MOF avec des semi-conducteurs couramment utilisés (g-C3N4, TiO2), afin d'obtenir des matériaux composites avec des propriétés photocatalytiques supérieures à leurs constituants.