Politique de taux d'intérêt nominal négatif : le cas de la zone euro
Auteur / Autrice : | Yiyan Quan |
Direction : | Nathalie Aminian |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Sciences économiques |
Date : | Soutenance le 03/04/2023 |
Etablissement(s) : | Normandie |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale économie-gestion Normandie (Caen) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Laboratoire d'Economie Rouen Normandie (Rouen ; 2012-....) |
Jury : | Président / Présidente : Sandrine Lardic |
Rapporteurs / Rapporteuses : Michel Boutillier, Cuauhtémoc Calderón Villarreal |
Mots clés
Résumé
Depuis la crise des Subprimes, de nombreuses Banques Centrales dans le monde entier ont mis en place des politiques monétaires non conventionnelles ( taux d’intérêts bas), visant à encourager les banques commerciales à octroyer davantage des crédits aux ménages et aux entreprises, afin d’inciter tous les emprunteurs à consommer et investir davantage , en générant une croissance de la demande globale par rapport à l’offre globale, ce qui crée de l’inflation , stimulant finalement une croissance économique, l’objectif final de la Banque Centrale Européenne. Cependant, les banques commerciales ont un rôle d’intermédiaire déterminant de canal de distribution de crédit. La question est de savoir comment les banques commerciales tentent de gérer leurs profits ? Les comportements de maximisation des profits poussent-elles les banques commerciales à accorder davantage de crédits et finalement , est ce que la politique monétaire non conventionnelle est-elle efficace ?