La soft law, un moyen de régulation économique : approche de droit comparé France - Tunisie
Auteur / Autrice : | Oussema Chebbi |
Direction : | Sébastien Bernard, Karim Chayata |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Droit public |
Date : | Soutenance le 06/07/2023 |
Etablissement(s) : | Université Grenoble Alpes en cotutelle avec Université de Sousse (Tunisie) |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale sciences juridiques (Grenoble, Isère, France ; 2003-....) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Centre de recherches juridiques (Grenoble, Isère, France ; 1995-....) |
Jury : | Président / Présidente : Léo Vanier |
Examinateurs / Examinatrices : Asma Ben Abdallah | |
Rapporteurs / Rapporteuses : H̱alīl Al- Fandrī, Anémone Cartier-Bresson |
Mots clés
Mots clés contrôlés
Mots clés libres
Résumé
L’objectif de cette entreprise est d'évaluer l'usage du droit souple comme moyen de régulation économique en France et en Tunisie. Sur le plan méthodologique, la présente recherche part du droit positif mais demeure ouverte sur d’autres disciplines voisines. Dans cette perspective il importe d’indiquer que la méthode retenue n’exclut pas le recours à des outils d’analyse relevant de la théorie du droit, des sciences administratives, de la sociologie, ou encore de l’analyse économique du droit qui pourraient expliquer certains choix des pouvoirs publics. Sur le fond, l'évaluation du droit souple renvoie à étudier dans un premier temps la consécration de ce procédé juridique en matière de régulation économique, puis dans un second temps, le contrôle exercé par les juges nationaux français et tunisien en la matière.Au fur et à mesure du développement de la présente étude, plusieurs problématiques sous-jacentes furent traitées à l'instar de la normativité des actes de droit souple, le régime contentieux de ces derniers, l'évolution du modèle de co-régulation économique et le développement économique (notamment pour le cas tunisien).