La négation explétive : des impératifs aux connecteurs : approche diachronique et formelle
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Auteur / Autrice : | Chloé Tahar |
Direction : | Alda Mari |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Sciences du langage |
Date : | Soutenance le 22/04/2022 |
Etablissement(s) : | Université Paris sciences et lettres |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Lettres, Arts, Sciences humaines et sociales (Paris ; 2010-....) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Institut Jean-Nicod (Paris) (2002-....) |
établissement de préparation de la thèse : École normale supérieure (Paris ; 1985-....) | |
Jury : | Président / Présidente : Hedde Zeijlstra |
Examinateurs / Examinatrices : Alda Mari, Hedde Zeijlstra, Anamaria Fălăuș, Regine Eckardt, Salvador Mascarenhas, Anastasia Giannakidou | |
Rapporteur / Rapporteuse : Hedde Zeijlstra, Anamaria Fălăuș |
Mots clés
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Mots clés contrôlés
Résumé
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La négation explétive est un marqueur de négation non-canonique dont la distribution est limitée, à travers les langues, à un certain ensemble de prédicats : verbes d’attitude appréhensive ('craindre'), connecteurs exceptifs ('à moins que') et prospectifs ('avant que'), clauses comparatives ('moins/plus que’). En synchronie, il s'avère difficile de déterminer (i) quelle propriété formelle les prédicats dans la portée desquels la négation explétive apparaît ont en commun et (ii) à quel type de dépendance syntaxique et sémantique au prédicat de la clause matrice elle participe. Cette thèse examine ces questions dans une perspective comparative et diachronique.