Auteur / Autrice : | Gatien Septembre |
Direction : | Christophe Bourlier, Agnès Pujols, Gildas Kubické |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Électronique, microélectronique |
Date : | Soutenance le 09/02/2022 |
Etablissement(s) : | Nantes Université |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Mathématiques et sciences et technologies de l'information et de la communication (Rennes) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Institut d'Électronique et de Télécommunications (Rennes) |
Jury : | Président / Présidente : Hélène Roussel |
Examinateurs / Examinatrices : Lionel Pichon, Alain Reinex | |
Rapporteurs / Rapporteuses : Lionel Pichon, Alain Reinex |
Mots clés
Résumé
Ce travail de thèse investigue des approximations haute-fréquence pour calculer la Surface Équivalente Radar (SER) d’un objet métallique afin de réduire les ressources informatiques nécessaires à la résolution du problème. La première méthode mise en oeuvre s’inspire de la méthode asymptotique de l’optique physique qui peut être directement liée à la valeur principale de la MFIE (Magnetic Field Integral Equation). L’idée est d’étendre ce principe sur la EFIE (Electrical Field Integral Equation), qui est plus précise que la MFIE. Ainsi, des hypothèses en haute fréquence sur l’équation de la EFIE sont introduites afin de réduire significativement le temps de calcul et le coût en mémoire de la résolution numérique du problème. Dans un deuxième temps, une nouvelle méthode est proposée pour réduire le nombre d’itérations du gradient conjugué pour la résolution numérique itérative de la CFIE (Combined Field Integral Equation), combinant à la fois la EFIE et la MFIE. En faisant varier le coefficient # de la CFIE dans les itérations du gradient conjugué, cette approche permet de passer d’une résolution principalement MFIE (bon conditionnement) à une résolution où l’EFIE est prédominante (bonne précision). Deux approches différentes ont été développées et sont détaillées dans le chapitre 3 du document. Title: