L’acte du philosopher, chez Hegel ou le dépassement de la crise des Lumières : quelle est la fin de la philosophie ?
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Auteur / Autrice : | Véronique Scherèdre |
Direction : | Mai Lequan |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Philosophie mention histoire de la philosophie |
Date : | Soutenance le 14/12/2022 |
Etablissement(s) : | Lyon 3 |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale de philosophie (Lyon ; Grenoble ; 2007-....) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Institut de recherches philosophiques de Lyon (Lyon) |
Jury : | Président / Présidente : Christophe Bouton |
Examinateurs / Examinatrices : Christophe Bouton, Christophe Bouriau, Gilles Marmasse, Charlotte Morel | |
Rapporteurs / Rapporteuses : Christophe Bouriau, Gilles Marmasse |
Mots clés
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Résumé
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Parce qu’il déplore, dans un même élan, d’une part, que les philosophes en titre pensent mal (en vérité, ils ne « pensent » pas, puisqu’ils limitent leur activité à celle de l’entendement), et, d’autre part, que ceux qui se chargent d’instruire en philosophie ne maîtrisent pas leur art, le pédagogue-philosophe Hegel va mener trois batailles. La première se charge de redéfinir l’acte même du penser. La seconde met en exergue la contre-productivité des Lumières, exhortant tout logiquement à les dépasser. La troisième lève le voile sur la « fin » de la philosophie.