Outils d’aide à la conception pour les laboratoires sur puce
Auteur / Autrice : | Alexi Bonament |
Direction : | Christophe Lallement |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Sciences de l'ingénieur |
Date : | Soutenance le 23/04/2021 |
Etablissement(s) : | Strasbourg |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Mathématiques, sciences de l'information et de l'ingénieur (Strasbourg ; 1997-....) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Laboratoire des sciences de l'ingénieur, de l'informatique et de l'imagerie (Strasbourg ; 2013-....) |
Jury : | Président / Présidente : François Pêcheux |
Examinateurs / Examinatrices : Jean-Michel Sallese, Louis Renaud, Morgan Madec | |
Rapporteurs / Rapporteuses : François Pêcheux, Abdelhamid Errachid El Salhi |
Mots clés
Résumé
Depuis les années 2000 la demande en outils d’analyses biologiques et chimiques, fiables et portatifs a augmenté dans plusieurs domaines (santé, environnement, agroalimentaire, …). Pour répondre à cette demande, des outils d’analyses miniaturisés, appelés « laboratoires sur puces » se sont développés en particulier sur le plan technique au cours de la dernière décennie. Cependant, les développements industriels à grande échelle des laboratoires sur puces restent encore à découvrir et à être exploités. Cette thèse essaie de donner une réponse au développement industriel des laboratoires sur puce. Notre postulat de base est un mimétique du développement de la microélectronique. En effet, celui-ci a été fulgurant ces 50 dernières années grâce à la séparation des compétences de technologie de fabrication et de celles de modélisation. Cette séparation a permis la libre création d’industries spécialisées soit dans la fabrication, soit dans la modélisation sans interdépendance l’une avec l’autre. Le but de cette thèse a été de développer différents outils de simulation pour les laboratoires sur puces compatibles avec un environnement de simulation électronique. Nous avons pu développer différentes approches à des niveaux d’abstractions différents afin de permettre une plus grande liberté de réponse à la simulation d’un laboratoire sur puce.