Contrôle du champ magnétoélastique local dans des réseaux de nanostructures pour des applications de straintronic
Auteur / Autrice : | Nabil Challab |
Direction : | Damien Faurie, Fatih Zighem |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Sciences des materiaux |
Date : | Soutenance le 08/07/2021 |
Etablissement(s) : | Paris 13 |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Galilée (Villetaneuse, Seine-Saint-Denis) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Laboratoire des Propriétés Mécaniques et Thermodynamiques des Matériaux (....-2010) |
Jury : | Président / Présidente : Maximilien Cazayous |
Examinateurs / Examinatrices : Maximilien Cazayous, Mohamed Haboussi, Flavio Abreu Araujo | |
Rapporteur / Rapporteuse : Matthieu Bailleul, Denys Makarov |
Mots clés
Résumé
Les systèmes flexibles présentent des propriétés intéressantes pour les applications électroniques nécessitant des dispositifs conformables et déformables pour avoir des géométries complexes. D’autre part, les dispositifs spintroniques permettent une miniaturisation et une faible consommation énergétiques des dispositifs ayant une large bande fréquentielle. Combiner la flexibilité et des dispositifs basés sur la spintronique donne naissance à des dispositifs qui s’inscrivent dans le champ de la straintronique qui est un champ de recherche dans le domaine de la physique de la matière dense, et qui s’intéresse aux effets induit dans les solides par les déformations mécaniques. La nanostructuration fait apparaître d’autres propriétés extraordinaires notamment des structures de bandes qui sont beaucoup utilisées en électronique. Cette nanostructuration induit aussi des effets sur la distribution des champs de déformation en son sein. L’objectif de cette thèse est donc l’étude de l’influence de ces champs de déformation sur la réponse magnétique des nanostructures déposées sur substrat flexible. Ces études se sont déroulées sur deux volets complémentaires à savoir l’étude expérimentale qui a été conduite in situ en résonance ferromagnétique et qui a consisté à déformer les nanostructures sur substrat flexible, l’autre volet est purement numérique pour la bonne compréhension et interprétation des résultats expérimentaux. Dans ce contexte, une méthodologie a été développée et un code de calcul maison a vu le jour au LSPM