Réduction du taux d’ondes stationnaire actif dans les grands réseaux d’antennes
Auteur / Autrice : | Rémy Lamey |
Direction : | Cyrille Ménudier, Marc Thévenot, Olivier Maas |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Electronique des hautes fréquences, photonique et systèmes |
Date : | Soutenance le 16/12/2021 |
Etablissement(s) : | Limoges |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Sciences et Ingénierie des Systèmes, Mathématiques, Informatique (Limoges ; 2018-2022) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : XLIM |
Jury : | Président / Présidente : Raphaël Gillard |
Examinateurs / Examinatrices : Cyrille Ménudier, Marc Thévenot, Olivier Maas, Patrick Potier, Denis Barataud | |
Rapporteurs / Rapporteuses : Hervé Aubert, Xavier Begaud |
Mots clés
Mots clés contrôlés
Résumé
Les taux d’ondes stationnaires actifs sont les principaux défis de tous les concepteurs de réseaux d’antennes à balayage électronique. Les causes sont à résoudre et son intrinsèquement liées aux couplages entre les éléments. Il est pourtant, encore aujourd’hui, très difficile de faire fi des problèmes qu’il cause sur les réseaux en entraînant une perte de puissance rayonnée ainsi qu’un important besoin de protection des chaînes d’émission/réception. Les travaux décrits dans ce manuscrit portent sur la définition d’une nouvelle méthodologie de conception de réseaux d’antennes, capable de réaliser de très forts dépointages, ainsi que sur l’étude d’une nouvelle architecture de cellule unitaire basée sur le concept d’antenne à réseaux parasites entrelacés. Après une mise en contexte et un rappel de l’état de l’art, des descriptions approfondies de la méthodologie et de ses concepts fondateurs sont décrits. Une mise en application est ensuite réalisée avec un démonstrateur afin de valider la mise en œuvre de la méthodologie. La modélisation fine des performances de grands réseaux basés sur cette architecture de cellule est ensuite donnée grâce à l’utilisation d’un formalisme de simulation autorisant le calcul des performances de très grands réseaux à partir d’un modèle périodique. Finalement, la modélisation d’une cellule complexe fonctionnant sur les deux polarisations est réalisée afin de montrer les potentiels qu’ouvrent ce nouveau concept.