Plasticité structurelle homéostatique de la connectivité neuronale en réponse à une stimulation externe : une étude combinée utilisant des simulations computationnelles et des expériences in vivo
Auteur / Autrice : | Han Lu |
Direction : | Ipek Yalcin Christmann, Stefan Rotter |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Neurosciences |
Date : | Soutenance le 15/10/2020 |
Etablissement(s) : | Strasbourg en cotutelle avec Albert-Ludwigs-Universität Freiburg (Fribourg-en-Brisgau, Bade-Wurtemberg, Allemagne) |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale des Sciences de la vie et de la santé (Strasbourg ; 2000-....) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Institut des neurosciences cellulaires et intégratives (Strasbourg) |
Jury : | Président / Présidente : Philippe Isope |
Examinateurs / Examinatrices : Ipek Yalcin Christmann, Stefan Rotter, Philippe Isope, Abigail Morrison, Jean-Christophe Poncer, Marom Bikson, Claus Normann | |
Rapporteurs / Rapporteuses : Abigail Morrison, Jean-Christophe Poncer |
Mots clés
Mots clés contrôlés
Mots clés libres
Résumé
Les neurones pyramidaux sont des unités hautement plastiques des circuits neuronaux. Les boutons axonaux et les épines dendritiques forment ou brisentcontinuellement les synapses. La règle d'Hebb, ''les neurones qui s’excitent ensemble, se connectent ensemble'', a d'abord été proposée pour expliquer la plasticité synaptique. Cependant, de plus en plus d'études suggèrent que les neurones maintiennent leur fréquence de décharge physiologique par régulation homéostasique. De récentes études montrent que le modèle de plasticité structurelle homéostatique (PSH), combinant à la fois la plasticité structurelle et l’homéostasie de la fréquence de décharge, présente une excellente auto-régulation de la stabilité du réseau tout en atteignant les propriétés Hebbiennes. Ainsi, cette thèse explore la possibilité d'utiliser ce modèle pour expliquer la régulation de la plasticité en réponse à une stimulation externe et précise son échelle de temps biologique.