Les politiques de conservation et de mise en valeur du patrimoine archéologique algérien : cas d’étude de la ville de Tébessa
Auteur / Autrice : | Abdelouahad Zouai |
Direction : | Charles Guittard |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Architecture et Ville |
Date : | Soutenance le 15/12/2020 |
Etablissement(s) : | Paris 10 |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Espaces, Temps, Cultures (Nanterre, Hauts-de-Seine ; 2000-....) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : ArScAn. Archéologies et sciences de l'Antiquité (Nanterre ; 1999-....) |
Jury : | Président / Présidente : Étienne Wolff |
Examinateurs / Examinatrices : Charles Guittard, Étienne Wolff, Dominique Briquel, Jean-Pierre Levet | |
Rapporteurs / Rapporteuses : Dominique Briquel, Jean-Pierre Levet |
Mots clés
Résumé
L’Algérie dispose d’un véritable patrimoine matériel bâti d’une portée internationale, qui représente son histoire, son identité, et sa richesse, mais qui souffre en silence de l’oubli, de la dégradation et de l’ignorance.Cette thèse représente une analyse des différents process de protection et de mise en valeur du patrimoine archéologique en Algérie, et prend Tébessa comme cas d’étude, cette ville très riche en patrimoine, a vu passer de nombreuses civilisations, mais n’arrive pas aujourd’hui à s’adapter aux changements de la société. L’objectif est de montrer que la protection du patrimoine est la responsabilité de tous, et que les différentes politiques patrimoniales algériennes qui gèrent le secteur depuis l’indépendance représentent beaucoup de défaillances, et d’insuffisances sur le plan juridique, et technique, ce qui a engendré une situation alarmante qui demande des opérations d’intervention immédiates.Enfin, des recommandations pour une nouvelle politique patrimoniale sont proposées dans l’espoir que l’Algérie, et les algériens puissent profiter pleinement de leurs richesses.