Contribution à la formalisation d'invariants de modélisation de systèmes cyber-physiques, dirigés par les données
Auteur / Autrice : | Concetta Semeraro |
Direction : | Hervé Panetto, Michele Dassisti |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Automatique, Traitement du signal et des images, Génie informatique |
Date : | Soutenance le 10/06/2020 |
Etablissement(s) : | Université de Lorraine en cotutelle avec Politecnico di Bari |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale IAEM Lorraine - Informatique, Automatique, Électronique - Électrotechnique, Mathématiques de Lorraine (1992-....) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Centre de recherche en automatique (Nancy) |
Jury : | Président / Présidente : Mariagrazia Dotoli |
Examinateurs / Examinatrices : Hervé Panetto, Michele Dassisti, Vincent Cheutet, Gino Dini, Mario Lezoche | |
Rapporteurs / Rapporteuses : Vincent Cheutet, Gino Dini |
Mots clés
Mots clés contrôlés
Mots clés libres
Résumé
La transformation numérique des entreprises manufacturières collaboratives en réseau nécessite la construction et l'application de modèles numériques représentant l'ensemble des ressources et des connaissances sur les processus. La modélisation d'une telle copie numérique du système physique pour effectuer une validation et une optimisation en temps réel est assez complexe et nécessite donc une grande quantité de données et quelques modèles de modélisation représentant la sémantique opérationnelle des éléments modélisés. En règle générale, l'action de modélisation a un type d'application localisé et spécifique. Fort de ce constat, le principal défi de la modélisation de la transformation numérique est de créer une approche invariante, à savoir un modèle décomposable et recomposable vers différentes applications. La thèse vise à identifier et formaliser des éléments de modélisation contribuant à construire des modèles informationnels et fonctionnels pour améliorer la durabilité des processus de fabrication et des produits, basés sur des composants en réseau. Ces éléments formels permettront alors de représenter la connaissance et sa relation profonde avec les processus de fabrication. Ils rendent ainsi les connaissances partagées plus facilement réutilisables et sont à la base des efforts de normalisation.