L'arbitrage international et les contrats de transfert de technologie en droit comparé : France, Syrie, Égypte
Auteur / Autrice : | Omar Al Youssef |
Direction : | Denis Mouralis, Claude-Albéric Maetz |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Droit privé |
Date : | Soutenance le 13/11/2020 |
Etablissement(s) : | Aix-Marseille |
Ecole(s) doctorale(s) : | École Doctorale Sciences Juridiques et Politiques (Aix-en-Provence) |
Jury : | Président / Présidente : Jean-Louis Respaud |
Examinateurs / Examinatrices : Jean-Louis Respaud, Maximin de Fontmichel, Carine Jallamion | |
Rapporteur / Rapporteuse : Maximin de Fontmichel, Carine Jallamion |
Mots clés
Mots clés contrôlés
Résumé
La France en tant qu’un pays développé possède une richesse juridique et judiciaire à propos de l’arbitrage et des contrats de transfert de technologie. Alors que la Syrie n’a pas jusqu’à ce moment un système juridique spécial à ces contrats. En plus, la loi syrienne de 2008 sur l’arbitrage a besoin d’être modifiée en raison des erreurs juridiques massives commises dans cette loi. S’agissant de l’Égypte, la loi de 1999 sur le commerce a mis en place un système juridique solide pour régir les contrats de transfert de technologie et l’arbitrage. Il faut mentionner que la jurisprudence égyptienne est très développée par rapport à la jurisprudence syrienne, ce qui me permet de faire une comparaison entre la France et les deux pays en développement