Léon Gontran Damas et Mohammed Khair-Eddine : enracinement, appropriation et dépassement
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Auteur / Autrice : | Sanaa Mahroug Mhibik |
Direction : | Guillaume Bridet |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Langue et littérature françaises ; littérature francophone |
Date : | Soutenance le 05/12/2019 |
Etablissement(s) : | Bourgogne Franche-Comté en cotutelle avec Université de Tunis El Manar |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Lettres, Communication, Langues, Arts (Dijon ; Besançon ; 2017-....) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Centre Pluridisciplinaire Textes et Cultures (CPTC) (Dijon) |
établissement de préparation : Université de Bourgogne (1970-....) | |
Jury : | Président / Présidente : Samia Kassab-Charfi |
Examinateurs / Examinatrices : Guillaume Bridet, Xavier Garnier, Kathleen Gyssels, Brigitte Denker-Bercoff | |
Rapporteur / Rapporteuse : Xavier Garnier, Kathleen Gyssels |
Résumé
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Ce travail débute par une réflexion générale consacrée à la mise en rapport qui fonde l’espace littéraire francophone. En limitant le panorama de la littérature d’expression française à deux espaces, le Maroc et la Guyane, nous souhaitons confronter deux écrivains, deux pays, deux histoires, deux mouvements, deux langues, au-delà de frontières préétablies, d’époques et d’écoles, très distinctes, grâce à l’analyse des œuvres de Léon-Gontran Damas, écrivain guyano-antillais, et de Mohamed Khair-Eddine, écrivain berbère marocain. L’un et l’autre contribuent à la représentation d’un monde aussi singulier qu’ouvert et entendent transcender les racines en reconstruisant les images de Soi et de l’Autre dans un contexte de mouvance culturelle.