Caractérisation par imagerie par Tomographie par Emission de position de la réponse tumorale après traitement de l'hépatocarcinome chez le petit animal : chimiothérapie, protonthérapie et potentialisation
Auteur / Autrice : | Nastassja Muller |
Direction : | Patrice Laquerriere |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Physique |
Date : | Soutenance le 09/09/2019 |
Etablissement(s) : | Strasbourg |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Physique et chimie-physique (Strasbourg ; 1994-....) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Institut pluridisciplinaire Hubert Curien (Strasbourg ; 2006-....) |
Jury : | Président / Présidente : David Brasse |
Rapporteurs / Rapporteuses : Laurence Bordenave, Gilles Karcher |
Mots clés
Mots clés contrôlés
Mots clés libres
Résumé
Mon travail de thèse a pour objectif de caractériser à l’aide de l’imagerie par Topographie par Emission de Positons (TEP) au 18F-FDG et au 18F-FLT, chez le petit animal, l’évolution de l’hépatocarcinome en cours de traitement par chimiothérapie, protonthérapie et potentialisation. Le modèle animal correspondait à une xénogreffe sous-cutanée d’une souche d’hépatocarcinome, sk-hep1, chez la souris nude. La chimiothérapie par Topotécan était administrée aux doses de 12,5mg/kg ou 6,25mg/kg. Le protocole de protonthérapie comprenait une irradiation en une fraction de 5 Gy, 10 Gy ou 20 Gy. Les acquisitions TEP au 18F-FDG et au 18F-FLT étaient réalisées une fois par semaine. Les deux types d’imagerie TEP ont montré un intérêt pour le suivi du traitement par chimiothérapie, permettant de déterminer une sous-dose de Topotécan. Pour le suivi de la protonthérapie, le 18F-FLT était plus avantageux puisqu’il permettait d’individualiser une reprise tumorale pour les doses d’irradiation les plus faibles. Dans l’étude de la potentialisation, l’imagerie TEP n’a pas permis de mesurer un avantage thérapeutique du traitement par proto-chimiothérapie concomitante.