Thèse soutenue

La gravité comme terrain de jeu pour briser la supersymétrie

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Auteur / Autrice : Yifan Chen
Direction : Karim Benakli
Type : Thèse de doctorat
Discipline(s) : Physique
Date : Soutenance le 10/07/2019
Etablissement(s) : Sorbonne université
Ecole(s) doctorale(s) : École doctorale Physique en Île-de-France (Paris ; 2014-....)
Partenaire(s) de recherche : Laboratoire : Laboratoire de physique théorique et hautes énergies (Paris ; 1997-....)
Jury : Président / Présidente : Delphine Hardin
Examinateurs / Examinatrices : Jean-Pierre Derendinger, Ignatios Antoniadis
Rapporteurs / Rapporteuses : Joseph Conlon, Laura Covi

Résumé

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Une simple extension du modèle standard et de la relativité générale consiste à introduire une particule fondamentale de spin 3/2, car il s’agit de la seule pièce manquante entre les spin 0 et 2. En outre, nous ne connaissons qu’un seul candidat présentant un tel spin du point de vue de la théorie fondamentale, le gravitino, superpartenaire du graviton. Ainsi, l’existence d’un spin fondamental 3/2 pourrait également être une arme à feu de supersymétrie ainsi que la théorie des supercordes. L’axion est un autre candidat intéressant au-delà du modèle standard. Pour le problème du CP puissant, l’une des solutions les plus populaires consiste à introduire un axion. La théorie des cordes prédit des particules générales de type axion avec une gamme de masses plus étendue. Ils peuvent également être des candidats parfaits pour la matière noire. Dans cette thèse, nous discutons de leurs mécanismes de production et des signaux possibles pour la détection. Nous souhaitons également aborder certaines questions dans le cadre de la théorie des cordes, telles que la stabilisation des modules. Les travaux précédents utilisent largement les corrections non perturbatives pour générer le minimum pour les champs de modules, tandis que nous choisissons un chemin différent pour rechercher si le problème Dine-Seiberg peut avoir une solution simple. Nous espérons également répondre à la question: pourquoi notre univers observé est-il à quatre dimensions?