Thèse soutenue

Stratégies d'internationalisation des multinationales chinoises
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Auteur / Autrice : Boqi Zhang
Direction : Jacques JaussaudBruno Amann
Type : Thèse de doctorat
Discipline(s) : Gestion
Date : Soutenance le 26/09/2019
Etablissement(s) : Pau
Ecole(s) doctorale(s) : École doctorale sciences sociales et humanités (Pau, Pyrénées Atlantiques)
Partenaire(s) de recherche : Laboratoire : Centre d’Analyse Théorique et de Traitement des données économiques

Résumé

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Cette thèse porte sur les stratégies d’internationalisation des firmes chinoises, particulièrement celles qui s’implantent en Europe. À travers une série d’études empiriques nous visons à traiter plusieurs aspects au regard des stratégies employées par ces firmes chinoises. À travers une première étude de cas, nous avons identifié différents parcours internationaux adoptés par les firmes chinoises en référence avec les théories existantes. Par la suite, nous avons conduit à travers une deuxième étude de cas, une analyse comparative de deux cadres théoriques distincts (modèle OLI et LLL). Cela nous a permis de souligner le pouvoir explicatif important de ces deux théories durant des périodes et des contextes différents dans lesquels les firmes chinoises se sont situées. Troisièmement, nous avons visé plus spécifiquement les partenariats entre les multinationales chinoises et les PME françaises. Ce travail a souligné comment ces deux types de firmes, par la combinaison de leurs asymétries réciproques, peuvent surmonter diverses difficultés de leur développement respectif. Au final, selon le concept de distance psychique proposé par le modèle d’Uppsala, nous avons analysé l’impact de la distance psychique dans le cas des multinationales chinoises. Sur la base d’une étude quantitative, cette fois-ci, nous avons proposé qu’en raison de diverses évolutions sociétales (avancement des technologies d’information ; amélioration des moyens de transport, etc.) et de certaines capacités de ces firmes chinoises, les difficultés liées à la distance psychique rencontrée par ces firmes sont inférieures à celles envisagées par le modèle d’Uppsala.