Quand l’art contemporain s’intéresse à l’économie : espaces de travail et formes économiques en question.
Auteur / Autrice : | Caroline Bach |
Direction : | Frédérique Villemur |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | HISTOIRE DE L'ART spécialité Art contemporain |
Date : | Soutenance le 12/12/2019 |
Etablissement(s) : | Montpellier 3 |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale 58, Langues, Littératures, Cultures, Civilisations (Montpellier ; 1991-....) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Centre de recherche interdisciplinaires en sciences humaines et sociales (Montpellier) - Centre de Recherches Interdisciplinaires en Sciences humaines et Sociales de Montpellier / CRISES |
Jury : | Président / Présidente : Bernard Salignon |
Rapporteurs / Rapporteuses : Isabelle Alzieu, Michelle Debat |
Mots clés
Résumé
Dans un ouvrage intitulé Art et économie, Jean-Marc Huitorel indiquait, dans son introduction, que « l’artiste fournit des outils pour lire le monde ». Pour les artistes dont la pratique est tournée vers l’extérieur et consiste, entre autres, à fournir des outils pour lire le monde (Allan Sekula ou Alfredo Jarr, par exemple), un travail avec l’économie est inévitable, sans pour autant qu’ils en deviennent nécessairement des spécialistes. Que ce soit à travers des cartographies des flux ou des dispositifs explorant, à grande échelle, la mondialisation des échanges, ou que cela soit à une autre échelle, à travers les espaces et conditions de travail, ils s’inscrivent parfaitement dans le courant 'hétérodoxe' (qui revendique la pluralité des approches) et apportent toute sa légitimité au dialogue entre art et économie.