Une étude phénoménologique de D+ → π+ I+ I− et la recherche de B(s) -> τ+ τ− à LHCb
Auteur / Autrice : | Cédric Méaux |
Direction : | Giampiero Mancinelli, Aoife Bharucha |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Physique des Particules et Astroparticules |
Date : | Soutenance le 28/10/2019 |
Etablissement(s) : | Aix-Marseille |
Ecole(s) doctorale(s) : | École Doctorale Physique et Sciences de la Matière (Marseille) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Centre de physique des particules de Marseille (CPPM) - Centre de physique théorique (Marseille ; Toulon ; 2012-....) |
Jury : | Président / Présidente : Cristinel Diaconu |
Examinateurs / Examinatrices : Eli Ben-Haim | |
Rapporteur / Rapporteuse : Svjetlana Fajfer, Viola Sordini |
Mots clés
Mots clés contrôlés
Résumé
Une des portes d’accès à la Nouvelle Physique (NP) passe par les désintégrations rares de mésons en leptons. Ces désintégrations se produisent par l’intermédiaire de particules virtuelles hors de leur couche de masse et sont donc, rares dans le modèle standard, mais très sensibles à une potentielle nouvelle physique. Les transitions b->sll fournissent déjà des contraintes importantes sur la NP. De plus, certaines anomalies, mesurées par LHCb dans ces transitions, semblent suggérer un couplage fort entre les leptons taus et les particules de NP. Moins étudiées car plus difficile à prédire, les transitions charmées c->ull pourraient aussi être affectées par la NP. Ce type de recherche, souvent qualifié d’indirecte, nécessité deux ingrédients: mesure et prédictions précises; cette thèse est dédiée à ces deux ingrédients. Dans un premier temps, j’expliquerai mon travail pour améliorer les prédictions autour de la désintégration rare D+ -> pi+ ll. Dans un second temps, je présenterai la recherche expérimentale des désintégrations rares B(s) -> tau tau à LHCb.