Le(s) rapport(s) entre la parole et l'écriture : segmentation et ponctuation
Auteur / Autrice : | Juan-Diego Epherra |
Direction : | Gérard Pommier |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Psychologie. Psychanalyse et psychopathologie |
Date : | Soutenance le 31/03/2018 |
Etablissement(s) : | Sorbonne Paris Cité |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Recherches en psychanalyse et psychopathologie (Paris ; 2001-....) |
Partenaire(s) de recherche : | Equipe de recherche : Centre de recherches Psychanalyse, Médecine et Société (Paris ; 2001-....) |
établissement de préparation : Université Paris Diderot - Paris 7 (1970-2019) | |
Jury : | Président / Présidente : Christian Hoffmann |
Examinateurs / Examinatrices : Gérard Pommier, Christian Hoffmann, François Sauvagnat, Olivier Ouvry, Paul-Laurent Assoun | |
Rapporteurs / Rapporteuses : François Sauvagnat, Olivier Ouvry |
Mots clés
Mots clés contrôlés
Mots clés libres
Résumé
Tant sur le plan historique que sur le plan individuel, l’écriture connait une progression régulière : elle part du dessin et aboutit aux lettres. Les écritures alphabétiques permettent de transcrire chaque élément sonore de la langue, donnant ainsi l’impression de pouvoir reproduire la parole. La parole possède des liens profonds avec l’écriture, mais pas forcément là où on les attend. L’écriture ne reproduit pas la parole, en revanche, la parole regorge d’artifices langagiers qui tenteront de trouver leur place à l’écrit. Le présent travail permet de pointer l’apparition tardive des divers procédés de segmentation de l’écrit. Désormais, ni le blanc inter-lexical, ni les signes de ponctuation ne sont des éléments consubstantiels à l’apparition de l’écriture alphabétique, mais des ajouts ultérieurs.