La marque du surnaturel dans un corpus de romans noirs de la fin du XVIIIe siècle.
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Auteur / Autrice : | Marianne Magdi Fahmi Garas |
Direction : | Jean-Jacques Tatin-Gourier |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Lettres Modernes |
Date : | Soutenance le 16/05/2018 |
Etablissement(s) : | Tours |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Sciences de l'homme et de la société (Tours ; 1996-2018) |
Partenaire(s) de recherche : | Equipe de recherche : Interactions culturelles et discursives (Tours) |
Jury : | Président / Présidente : Mohamed Lehdahda |
Examinateurs / Examinatrices : François Bouchard | |
Rapporteur / Rapporteuse : Dragan Bogojević |
Résumé
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Quatre romans relevant du genre gothique (Le Château d'Otrante et Le Moine), ou communément rattachés au courant fantastique (Le Diable Amoureux et le Manuscrit trouvé à Saragosse), permettent de comprendre les mises en scène du surnaturel dans les dernières années du XVIII' siècle et au début du XIX' siècle. Ce surnaturel se manifeste dans des espaces spécifiques, à travers des rituels magiques de formes très différentes, mais qui renvoient tous à une action diabolique. Il revêt de plus des apparences séduisantes pour satisfaire les désirs secrets des personnages, qu'il manipule à son gré et qu'il risque de conduire à leur perte. (Il y réussit parfois).